Audiance avec Antoine

* Experte, oui elle l'était... Cléopâtre aimait bien passer du bon temps. Elle faisait bouger son bassin sur celui d'Antoine, poussant de petits gémissements. Elle l'embrassa dans le cou, le mordillant un peu. Il faisait chaud, très chaud!
Elle lui prit une main et la plaqua sur son sein, et continua ses mouvements, en l'embrassant fougueusement.*

* Marc-Antoine commençait à avoir lui aussi de plus en plus chaud. Il était en train de coucher avec la plus belle et la plus puissante femme du monde, ce qui ne pouvait que l'exiter d'avantage. Il suivait les mouvements de bassin de Cléopatre et l'embrassait en même temps. Lui faisant des caresses bien placées*

* Cléopâtre passait ses mains sur le torse musclé (et pas encore bedonnant) d'Antoine, tout en continuant ses mouvements, accélérant la cadence parfois. Elle poussait de petit cris et gémissements de plaisir tant le moment était agréable. Il fallait bien reconnaitre qu'Antoine était plutot bel homme, et bien bâti, qui plus est. *

-Oh Antoine! Encore! Encore !!

* Marc-Antoine se donna à elle comme jamais. Lui faisant l'amour avec quand même un peu de fougue. Il lui mordilla le cou mais sans lui faire de marques. Il ne fallais surtout pas que César le sache. Puis, au bout d'une heure, il s'allongea à côté d'elle, un grand sourirre afficher sur ses lèvres*

- Tu le sais sans doute déja, mais tu es incroyablement douée. César à de la chance.

* Cléopâtre, essoufflée mais comblée, souriait, tenant la main d'Antoine, allongée à coté de lui. Elle apprécia le compliment qu'il lui fit.*

-Oui, je sais. Mais nous ne sommes pas là pour parler de César, n'est-ce pas?

* Elle tourna la tête vers lui et lui vola un baiser.*

-En serais-tu jaloux??

*Un petit sourire amusé se dessina sur ses lèvres, attendant la réaction d'Antoine à cette question.*

- Moi jaloux?

*s'étonna Marc-Antoine*

- Mais non pas du tout. Pourquoi est ce que je serais jaloux?

* Il plongea son regard dans le sien*

- Je suis aussi doué que lui de toute manière voir pqut être même un peu plus.

* Cléopâtre fut amusée de la réaction d 'Antoine. Elle se mit à rire d'un rire sonore.*

-Quelle prétention !

*Elle soutint son regard en souriant*

-Oh pour rien, mais vu que tu n'arrêtes pas d'en parler...

* Marc-Antoine prétentieux ? Alors là c'était la meilleur d l'année est ce que Cléopatre avait prit la peine de se regarder dans un miroire ? Pourtant oui, elle passait le plus clair de son temps à le faire. Il fallait croire que ce jour-là, elle avait du oublier de le fire. Il préféra éviter cette remarque qui serait sans le moindre doute mal placée.*

- Moi je suis prétentieux ? Mais pas du tout je suis désolé. En ce qui concerne mes exploits militaires, j'en ai autant à revendre que lui je te signal.

* Il n'aimait pas que l'on vente les mérites de César en se faisant rabiasser de cette manière .*

- Excuse moi devouloir tenir un minimum à la vie.

* Il est vrai que si César l'apprenait, plusieurs solutions risqueraient de tomber. Soit il pourrait dire adieu à sa carrière militaire, soit il se ferait exiler, soit il se ferait mettre à mort. Il préféra ne pas y penser.*

* Cléopâtre ne put s'empêcher de rire aux réponses d'Antoine. Décidément, les romains étaient très amusants! Elle le regarda, toujours sourire aux lèvres.*

-Tu n'as pas à te comparer au Grand César! je suis sure que ton heure viendra, mais pas tout de suite.

*elle lui caressa la joue d'un air un peu maternel.*

-Sois patient.

* Alors là c'était trop !! Il remit son bas *

- Eh bien dans se cas reste avec lui et je te souhaite d'être heureuse.

* Enervé, il sortit de la pièce. Vu la manière dont il lui avait parlé, il avait eu cette impression d'être un moins que rien. Il sorit de la chambre et alla sur la balcon. Il respira un grand coup et regarda la vue. Il demanda à un serviteur qu 'on lui amène un verre de vin*

* Cléopâtre, bien qu'amusée par les réactions vives d'Antoine, prit assez mal son départ précipité. Elle n'avait rien dit de méchant, seulement des réalités: César était le maitre, le plus puissant des romains, un Triumvir, et pas Antoine, il n'avait donc pas à se comparer à lui. Elle le regarda aller sur le balcon, les sourcils froncés. Elle vit revenir le serviteur dans la chambre et lui demanda ce qu'Antoine lui avait ordonné. *

-Laisse, je le fais.

*Elle chassa le serviteur d'un geste de la main et ramena à Antoine son verre de vin. Elle s'approcha de lui, lui tendant le verre. *

-Il ne faut pas te vexer pour si peu, je n'ai rien dit de personnel contre toi ! César est vieux, il n'est pas éternel, laisse-le profiter des quelques années qui lui restent.

* Marc-Antoine prit le verre et but une gorgée. Il regarda droit devant lui*

- C'est comme si on te disait que quelque part il existait une autre femme que tout le monde considérerait plus belle que toi. Comment est ce que tu réagirais ?

* Il la fixa*

* Cléopâtre le regarda et éclata de rire*

-Je sais qu'il n'existe personne comme moi, alors pourquoi le craindrais-je? il faut être sûr de soit, et savoir patienter. Crois-tu que je sois arrivée là où je suis à force d'impatience? Pas du tout! J'ai été exilée hors d'Alexandrie pendant plusieurs mois, souviens-t-en !

* elle lui prit le verre des mains poujr en boire une gorgée et le lui rendit. *

- Oui je connais ton histoire .

* Marc-Antoine termina le verre . Il ne pouvait s'empêcher de penser à César. Cet homme lui volait tout et voulait tout pour lui. Une mauvaise idée traversa Marc-Antoine : Le tuer . Il chassa vite cette solution. Même so parfois l'envie ne lui manquait pas, surtout ces derniers temps.Il lui sourit *

- J'ai parfois tendance à oublier à quel point tu es prétensieuse.

* Cléopâtre n'apprécia pas du tout qu'antoine la traite de prétencieuse. Elle le giffla aussitot, du tac-au-tac, en le foudroyant du regard. Là, elle ne jouait plus. *

-N'oublie pas à qui tu parles et le respect que tu dois !

*Son regard se noircissait de seconde en seconde, elle le fixait d'un air menaçant. Il avait intérêt à retirer ses paroles.*

* Marc-Antoine reçunt une sacrée giffle . Il garda sa tête sur le côté pendant un instant. Il venait de se faire giffler par la Rein d'Egypte en personne. Comme on le dit, la vérité est parfois douloureuse à entendre. Sa réputation venait d'en prendre un sacré coup, et une chose était certaine, sa réputation venait de s0en prendre un coup autant dans le sens propre que figuré. Mais il n'avait nullement l'intention de retirer quoi que ce soit.*

- Je parle à une femme avant toute chose. Et je ne vois pas pourquoi est ce que tu te vexes pour si peux. Nous avons tous nos défauts et nos qualités.

* Il la regardait même si il ressentait des fourmies dans sa joue.*

- Tu es belle quand tu es en colère.

* Les paroles d'Antoine ne la calmèrent pas, bien au contraire. Histoire de lui infliger un supplice supplémentaire, elle lui marcha sur le pied, appuyant bien fort, mettant tout son poids, certes pas très lourd, sur celui avec lequel elle lui marchait dessus. C'était plus le contact avec la semelle en bois qui était douloureux que le poids qu'elle y mettait.*

-Tu n'as pas à proférer de telles paroles en ma présence !

* Son visage était à présent à quelques centimètres de celui d'Antoine. Elle sourit, campant sur sa position.*

-Je le sais.

* Marc-Antoine eu vraiment mal. Cléopatre n'était pas lourde mais il était presque pieds nus. Il l'a poussa en arrière. Oh pas au point de la faire tomber, juste pour qu'elle descende de son pied qui le faisait maintenant souffrir.*

- Mais ça va pas tu es folle ?

* Il la regarda en fixant son regard dans le sien*

- Ce n'est pas de ma faute si la vérité est doloureuse à entendre.

* Décidément, il ne se soumettait toujours pas. Voilà de quoi exaspérer l'Egyptienne. elle se rapprocha et le giffla une nouelle fois, un peu plus fort.*

-Ne cesseras-tu jamais d'être insolent ?!

*Son regard était deveu foudroyant. Elle savait qu'il ne pourrait lever la main sur elle, César ne l'aurait pas permis, et puis elle était reine, et enceinte de surcroit. *

* Marc-Antoine eut vraiment envie de lever la main sur elle. Il l'a leva et se résigna par la suite. Cléopatre était Reine et elle était avec César, mieux valait éviter de se faire Bannir ou mettre à mort. Il risquerait de tout perdre en un claquement de doigt.*

- Je crois que cette conversation est terminée. Je retourne à Rome .

* Sans une révérence et sans un adieu, mais avec toute la colère q'il ressentait à ce moment précis, Marc-Antoinemtourna les talons et entra à nouveau dans la chambre. Comme il était torse nu, il se rahbilla malgré ls chaleur étouffante qu'il régnait dans la pièce, due à la chaleur mais également à l'ambiance. Il la quittait de la manière la plus irespectueus qu'il soit. De toutes les manières, il n'avait plus rien à perdre. Cléopatre allait faire remonter des choses à César et il le savait.*

* Cléopâtre le regarda rentrer dans la chambre et le suivit machinalement. elle mit ses main sur ses hanches, le regardant se rhabiller.*

-c'est cela, fuis, vas-t-en !

* Lorsqu'il s'apprcha de la porte, elle attrapa un vase et le jeta violemment à ses pied, il se brisa en mille morceaux. *

- Fuir ? Tu m'accuses de fuir ? Alors que dès la preière occasion tu vas aller te lamenter dans les bras de César comme une petite fille ? Et pour ton information je ne fuis pas. Je m'en vais ce n'est pas la même chose. Je te laisse te défouler sur tes vases ou sur autre chose.

* Il passa la porte qu'il claqua. Il s'appuya contre la porte et soupira. La situation était vraiment ern train de dégénérer et Marc-Antoine ne contrôlais plus rien*

* Cléopâtre était loin d'apprécier la réponse qu'il lui donna. Elle le pointa du doigt d'un air désapprobateur et se préicipita vers lui avant qu'il ne referme la porte. Arrivée près de cette dernière, elle l'ouvrit violemment, attrapa Antoine par le bras et l'entraina à l'intérieur de la pièce, claquant la porte pour la refermer. Là, elle le fixa durant une seconde et l'embrassa fougueusement.*

-Je ne me lamente jamais, est-ce clair?!

*Et elle reprit le baiser de plus belle.*

* Marc-Antoine fut très surprit de cette fougue qu'elle avait et ceux même si il venait de s'engueler. Au début il la repoussa. Puis il lui rendit ses baisers qui étaient encore plus fougueux que la fois précédente. Il la prit dans ses bras et la posa sur le lit. Il mit ses mains sous la robe de Cléopatre et la caressa*

HJ: oh un vieux topic...

* Cléopâtre se retrouva donc sur le lit, avec les mains d'Antoine sous sa robe. Elle se redressa vivement, le fit basculer de sorte qu'il soit à son tour allongé sur le lit. Elle lui grimpa dessus et le giffla.*

-Ne me traite plus jamais de petite fille!

* Puis elle se pencha sur lui et l'embrassa à nouveau. Elle détestait qu'on la "rabaisse" à ce qu'elle n'était pas. Elle n'était plus une enfant depuis bien longtemps, et avait traversé des épreuves depuis son plus jeune âge, que même Antoine ou César n'avait sans doute jamais imaginé. Elle s'était débrouillé par elle-même pour rester en vie dans un Palais ou chacun tirait la couverture à soit et où tous tentaient de s'éliminer. Sans parler de l'hostilité des Egyptiens, au début, vis à vis d'elle.*