*Nettoie les sols* (Pv: Qui veut)

*Honoria qui n'était pour une fois pas aux côtés de sa maîtresse Octavie, lavait le sol de la cuisine en effet les tâches de graisses, la farine et autres composants de plats avaient été renversés par terre. Honoria nettoyait donc le sol, elle se trouvait à terre elle briquait une partie du sol. Elle chantonnait comme à son habitude, elle ne s'ennuyait pas le travail était dure mais elle savait sa chance d'être la servante d' Octavie qui était douce avec elle, depuis bien longtemps maintenant, elles avaient le même âge*

* Marc-Antoine décida d'aller voir Octavie. Voilà déja quelques temps qu'ils couchaient ensemble en secret. La seul peur qu'il avait, été celle de tomber sur Octave. Il se ferait sûrement bannir ou qui c'est, peut être pire. Il décida de passer par les arrières et d'entrer par la cuisine. Mieux valait être prudent. *

*Honoria qui était encore entrain de briquer le sol entendit des pas, elle continua de laver le sol en chantonnant mais les pas n'avancaient plus, un sentiment l'envahissa, elle avait entendu parler des servantes retrouvées égorgées après avoir assouvies les besoins de certains mâles. Cette situation ne lui disait rien de bon, elle se retourna alors. Qu' elle surprise de voir un grand homme romain se tenir devant elle alors qu'elle était encore assise dans le savon et qui de plus avait parut à la porte de la cuisine. Elle ne dit rien sentant sa dernière heure sonnée, elle recula jusqu'au mur doucement*

* Marc-Antoine avait entendu parler de la servant d'Octavie. Oh il l'avait juste aperçut une fois ou deux mais n'avait jamais parler avec elle. Il ui sourit, essayant de la rassurer un peu.*

- Bonjour, est ce que ta maitresse est là?

*Elle regardait cet homme qui n'avait point l'air un homme injuste. Elle se reprit un peu de ses émotions qu'elle trouva ridicule non seulement elle avait déja vu Marc-Antoine mais elle savait ce qui se tramait entre lui et sa maîtresse entendant les bruits provenant de la chambre d' Octavie, elle en avait très vite déduit que l'amour était logé ici*

-... ... Non,... Elle n'est pas là...

*Répondit elle avec un sourire*

- Est ce que tu sais quand est ce qu'elle rentrera?

* Marc-Antoine ne pouvait plus se passer d'Octavie. Il devrait bientôt retourner en Egypte avec César et il aurait voulu la voir avant son départ. Il lui sourit *

- Allons, ne soit pas timide, je ne vais pas te mordre.

hj: ça va ma belle ? Je croyais que tu aimais plus les forums?

-Pardonez moi Mosieur mais elle ne m'a rien dit de ce qu'elle allait faire ni à quelle heure elle rentrera... Mais si vous le voulez vous pouvez l'attendre dans le salon...

*Elle souriait comme sa maîtresse le lui conseillait toujours, loin d'être sans esprits, elle appliquais juste les conseils de sa douce maîtresse. Elle avait le plus profond des respects pour les gens du grand monde, rien n'avait plus de grace qu'eux. Elle s'applicait chaque matin à se coiffer et faire un maximum de délicatesse pour paraître a la hauteur d'une servante d'une grande femme*

-Voulez vous que je vous serve quelques boisson...?

* Marc-Antoine trouvait cette jeune femme très gentille et très serviable.*

- Je te remercie et j'accepte avec plaisir.

*Sa maîtresse lui avait aussi apprit les politesses, elle souriat et alla prendre des boissons rafraichissantes et quelques fruits et autres. Elle conduisit Marc Antoine dans un coin propre de la cuisine, elle le fit s'assoir, lui souriat et lui demanda*

-Voulez vous que je vous laisse seul...?

* Il s'assit et mangea un raisin.*

- Non tu peux rester.

* Il lui sourit *

- Je vois que tu as du travail. Ne t'arrête pas pour moi.

-Ma maîtresse veut que je reste tenir compagnie à ces invités lorsque qu'elle n'ai pas là...

*Elle alla lui chercher d'autres fruits frais. Elle regarda au loin si personne ne venait. Puis elle tentat de dire à Marc antoine*

-Cela est risqué de venir voir ma belle maîtresse en plein jour... Vous n'êtes pas ici à l'abris des regards... J'espère que vous l'aimez comme vous le lui dîtes...

- Eh bien si c'est ce qu'elle souhaite reste. Ta présence ne me dérange pas du tout.

* Elle avait raison. C'était risquer de se montrer ainsi. Octave pourrait débarqur à tout moment. *

- Je n'ai pas à me justifier de mes sentiments devant toi.

* Sur ce coup là, il n'avait pas été très gentil, mais c'était une esclave*

-Je le sais très bien Monsieur pardonnez moi cet affron mais j'ai jurée fidélité à ma maîtresse et ne veut que son bonheur et que sa protection soit assurer...

*Son regard implorait Marc Antoine, elle savait que cet affron pouvait lui être fatale mais son coeur avait parlé, elle n'y pouvait rien. Elle fairait tout pour sa maîtresse. Pourtant Marc Antoine pouvait la tué, elle le savait.*

-Pardonnez moi monsieur... Pardonnez moi... Ne me tuez pas...

*Elle l'implorat, cela était sérieu. Elle s' abaissat à ses pieds.*

-Je vous emprit Monsieur...

* Marc-Antoine se leva de sa chaise. La tuer? Mais bien sûr que non voyons !! Il ne lèverait jamais la main sur une femme. Plutôt mourir. Il se mit à la hauteur de la servante et là prit gentiment par le bras.*

- Allons ne dit pas de bêtises. Je ne vais rien te faire voyons. J'ai juste trouver ta question déplacées, c'est tout. Mais si tu veux tout savir. je suis sincèrement amoureux de ta maitresse et je veux tout faire pour qu'elle soit heureuse.

*Surprise quand il la prit par le bras. Elle le regarda et souriat, la gratitude et le respect illuminaientt ses yeux bleux gris clair.*

-Je vous remercie Monsieur... Cela ne se reproduira jamais...

*Elle resta par terre mesurant la chance qu'elle avait eu de tomber sur un homme bien, un homme bon qui ne levait la main sur aucune femme, elle remerciera les dieux le soir. Sa maîtresse avait de la chance.*

- Ne t'en fais pas, je t'ai déja pardonner.

* Il lui sourit *

- Je comprends que tu te fasses du souci pour ta maitresse. Il y a des hommes mal attentionne parfois. Mais ce n'est pas mon cas je te rassure.

*Elle souriat, elle se releva, si cet homme avait été comme elle, elle se serait jeté dans ses bras, tout ce qu'il disait était juste, elle esperait maintenant qu'il ne dirait mot à sa maîtresse sur ce qui venait de se passer*

-Voulez vous que je vous laisse maintenant...? Ma présence doit être lourde...

- Mais non voyons.

* Il plongea son regard dans le sien *

- ta présence et agréable et ne me dérange aucunement.

* Il lui sourit, devinant son malaise *

- Je ne dirais mot à ta maitresse ne t en fais pas.

-Merci Monsieur...

*Elle avait de la gratitude envers lui dans le regard, cela ne le dérangeait pas qu'elle resta en sa présence, elle alla lui rechercher des fruits mais en revenant elle se trouva gener de voir une pile de fruit qui n'avait pas été mangé.*

-Oh...

*Elle retourna les remettre puis elle revint cela se voyait qu'elle fut gené*

* Il ne put s'empêcher de sourire. Oh il ne se moquait pas d'elle mais il trouvait comique la manière dont elle était émotive.*

- Allons ce n'est rien ne t'en fais pas.

* Il mangea une pomme et but un peu*

*Elle vint se tenir contre un mur, elle attendit que l'on lui adressa la parole. Rien ne devait maintenant être mal prit ou mal fait. Elle attendat donc rien ne vint la distraire de cette visite. Sa maîtresse ne rentrerait peut être que dans quelques heures mais voulait toujours que l'on reste avec ses invités.*

* Marc-Antine lui sourit *

- Si tu veux terminer tes tâches ne te prive pas pour moi, je nevoudrais pas que tu prennes du retard par ma faute.

*Elle sourit, elle ne voulait pas ne pas obéir à sa maîtresse. elle resta donc près de Marc Antoine. Elle nettoyait juste la vaiselle avec attention pour ne rien casser. Elle prenait soin des affaires de ses maîtres.*

-Non ne vous inquiètez pas...

- Va je te prie, je n'aime pas être ainsi observer.

* Il la regarda gentiment*

- Je sais que tu as milles choses à faire.

-Monsieur permettez moi de rester en votre présence je ne veux surtout point désobéir à ma maîtresse... Et voyez vous je travaille...

*Elle ne voulait en aucun cas décevoir sa maîtresse, elle faisait de son mieu. Elle continuait de nettoyer la montagne de vaiselle, la réception de la veille avait été monumentale.*