*Le marché. (Pv: Libre)*

*Honoria faisait son marché dans le brouillard en cette matinée. Ah cette fraîcheur la réveillait, il était pourtant rare en ce moment d'avoir un brouillard aussi épais. Elle était maintenant à marcher dans ces rues où les étales était serrées. Elle acheta de quoi faire à ses maîtres un repas digne de ce nom.*

*Après ses courses clauses, elle marchait sur un sentier pour se rendre vers un autre petit marché. Quand tout as coup elle n' eut pas le temps d'entendre un cheval passer une personne la poussa au sol pour la protéger. La personne était ????*

hj: Attention c'est 5 lignes complètes minimum

* Marc-Antoine venait de sortir de chez Octave. En effet, il avait besoin de lui parler de certaines décisions qu'avaient prises César. Ce dernier avait décidait de partir en Égypte. n voyage long et difficile s'annonçait. Il fallait surtout l'organiser, car la théorie est une chose mais la pratique en est une autre. Il termina son entretient et sortit de chez Octave.*

* Un brouillard très épais avait plongé Rome dans une très grande obscurité ce qui étonna Marc-Antoine. Le brouillard était relativement rare à cette période de l'année. Ses yeux mirent un peu de temps avant de s'habituer à se changement de temps. Il revoyait normalement. Il entendit un cheval arriver à toute allure et une jeune femme se trouvait dans sa trajectoire. Il ne se posa pas de questions et se jeta sur la jeune femme qui se trouvait devant lui. Lui évitant ainsi de se faire écraser par les sabots de l'animal. Le panier qu'elle tenait se renversa sur le sol avec tout ce qu'il contenait. Une fois que l'animal fut passé, Marc-Antoine se releva et tendit la main à la jeune -femme.*

- Tout va bien ? Vous n'avez rien de cassé?

*Honoria n' eut pas le temps de penser à se qu 'il se passait le cheval était arrivé si vite de plus elle ne marchait pas en plein milieu de la route. Par la peur elle ferma ses yeux qu 'elle ne réouvrit qu 'après que le cheval se fut éloigné. Elle sentit soudain un poid lourd sur elle. Elle se releva précipitament ne prenant pas la main que le jeune homme lui tendait. Elle le regarda et se courba pour le remercier.*

- Je vous suis si reconnaissante d'avoir par votre acte héroïque épargné ma vie et risqué la votre...

*Elle n' osa pas le regarder, c'était Marc Antoine même si par le stress elle eut du mal à le reconnaître. Elle resta courbé. Il n'était point d' usage de regarder cet homme dans les yeux. Comme elle était bête ne point pouvoir faire quoi que se soit pour cet homme qui lui avait sauvé la vie. Ils s'étaient déjà rencontré plusieur fois en la présence d' Octavie. Elle répond quand même à la question de son sauveur par un:*

- Mon état importe peu... Etes vous blessé depuis votre chute?

*Elle resta courbé, son châle n'avait pas bougé et était resté sur ses cheveux d'un noir des plus profond. Le brouillard était profond.*

HJ: Désolé je pensais que c' était trois lignes minimum ;-).

*Honoria avait très largement été suspectée de cacher les amours d' Octavie et de Marc-Antoine. Mais cela ne lui avait pas servit de leçon après tout sa maîtresse était Octavie, accessoirement Octave. Octavie lui avait pressement souligner de ne rien dire, pas un mot de se qu' elle entendait ou de se qu' elle voyait. Alors rien ne sortait de sa bouche, pas un traitre mot. Elle répond à Marc-Antoine.*

- Mon maître n'est pas là aujourd'hui il devait quitter Rome pour quelques jours...

*Forte heureusement pour elle. Elle craignait Octave plus que tout homme, normal puisqu'il était son maître. Alors quand il partait cette terreur s'appaisait et tout semblait plus calme. Même Octavie était plus patiente et sereine sans cette tutelle.*

*Honoria ne le regardait pas, la peur peut-être. Elle le laissa l' appuyer contre le mur après tout c'était qu' une esclave alors ce n' était pas bien choquant.*

- Monsieur Octave est partit en cette matinée voila tout...

*Elle ne le regarda pas et fixa son regard tout d'abord sur la route si terreuse que voir le pavé était presque impossible puis plus loin vers l' horizon mais jamais vers Marc-Antoine. Elle n' osait pas. Et puis la jeune femme se demandait à l' instant si elle avait plus peur d' Octave ou de Marc-Antoine mais après tout là cela allait être à peut près égal.*

*Elle savait très bien que cette réponse ne conviendrait pas à Marc-Antoine aussi sa peur monta, mais quoi dire à cet homme?*

*Honoria ne fut pas réellement surprise que Marc-Antoine réagissent de la sorte. Elle eut tout de même un mouvement de recul qui la fit pousser involontairement Marc-Antoine. Il l' obligeât à le regarder. Ces yeux ne laissait rien présager de bon pour elle en tout dès cas. Elle ne le regarda tout de même à peine, son titre inférieure l'empêchait. La jeune femme redoutât la réaction de Marc-Antoine. Elle redit ses paroles.*

- Monsieur Octave est partit pour quelques jours...

*Son regard ne croisât pas celui de Marc-Antoine. Terrifié à l' idée d' être transpercé par ce regard. Elle entendit la lame serrer le cuir.*

*Honoria regarda dans le vide. Elle sentait qu'elle allait y passer un bon moment. Elle sentit la lame et fut limite étonné qu' il ne la saigne pas un peu. Elle en avait vu d'autre, bien d'autre. Malheureusement pour elle aujourd'hui l' homme n'avait pas l'air aussi peu déterminer que les autres.*

*Elle ne le regardait toujours pas. Malgré le fait qu'il tire toujours plus fort ses cheveux, elle ne bronchaient pas. Rejoindre les dieux ne la dérangeait pas vraiment, souffrir un peu plus. Elle n'avait rien à lui dire elle se tut donc. Et essaya de baisser le regard.*

*Elle ne savait pas réellement ce qu' il voulait, malgré elle le stress montait et embrouillait ses pensées.*

*Honoria voyait bien que l'homme bouillonnait de l'intérieur, pourvu que ça reste à l'intérieur! Elle ne le regardait pas, elle entendait pourtant bien ce que Marc-Antoine lui disait. Elle se demandait bien pourquoi il prenait autant de temps et de pincette.*

-Non ce n'est pas ce que je veux...


*En même temps, elle ne trouvait pas ça plus mal de partir maintenant les dieux seraient peut être plus clément avec elle! Elle ne le regarda donc pas. Elle voyait bien que l'homme perdait de plus en plus patience.*

- Alors si ce n'est pas ce que tu veux, dit moi ou il est et il ne t'arrivera rien du tout je t'en fais la promesse.

* Il n'avait nullement l'intention de la trahir et tiendrait sa parole. Il pouvait se montrer sévère mais gentil aussi. *

- Ou est il ?

* Il la relâcha complètement mais la garda toujours plaquée contre le mur afin qu'elle ne s'en aille pas*

- Mais je n'ai rien à te dire.

*Lui dit elle d'un coup. Elle était lasse de l'entendre lui dire qu'il allait la tuer! Autant la tuer maintenant et puis de plus c'était une servante fiable qui ne trahit jamais personne alors si il se mariait avec Octavie elle serait alors sa servante et elle serait toujours fidèle. Maintenant, il faisait ce qu'il voulait ce n'était pas son maître qui allait venir la défendre loin de là ^^".*

*Honoria se fit lâcher par larme qui la retenait contre le mur depuis un petit moment. Elle commençait à remarcher vers un autre marché. Quand il la prit par la gorge à nouveau, là elle fut bien forcé de le regarder. Et elle vit bien dans ses yeux qu'il voulait mais qu'il n'avait pas la patience de la frapper. Il commençait à partir quand, elle lui courut après et se mit devant son passage.Elle lui dit.*

- Je ne sais pas où il est partit crois moi! Tu me prends pour un démon mais je sais juste qu'il est partit pour quelques jours...

*Elle le regarde quand il lui pose toutes ces questions, elle n'avait pas eu peur mais lui disait la vérité. Elle n'était que servante pas confidente d Octave. Alors le filou ne lui en avait touché mot bien qu'elle eu fait ses paquets elle ne pouvait dire où il allait. Elle le regarde donc en ne sachant quoi lui dire à présent. Elle ne se souvenait pas avoir entendu partir de lieu, ni de personne avec qui il était partit.*

- Je sais juste que c'est son serviteur qui est avec lui je ne sais où je ne sais avec qui...