Arrivée en Judée après la fuite d'Egypte

* Ils étaient partit d'Egypte en pleine nuit et avaient fait une très grande route. Durant le trajet, ils se sont fait attaqué par des bandits. Pothin c'est mit devant Ptolémé et à prit le coup de couteau à sa place. Il fit croire à tout le monde que la blessure était sans impotance, ne voulant pas alarmer Ptolémé plus que ce qu il était déja.*

*Ptolémée avait eu peur durant tout le voyage et plus encore durant l'attaque, mais comme toujours pothin avait été là pour lui, il les avaient tous rassurer, mais il semblait bien pâle ce qui alarma le jeune garçon qui était cependant épuisé par le voyage et pret à s'endormir*

-Tu es certain que tout va bien?

- Mais oui ne t en fais pas.

* Sa blessure lui faisait mal. Mais il serrait les dents. Il voyait quePtolémé était fatigué et ce dit que ce serait l'occasion pour lui de se faire soigner sans qu il le sache.*

- Tu devrais aller dormir,la route à été longue.

*En effet le jeune garçon était épuisé et ne demanda pas qu'on lui dise deux fois pour aller se reposer, il se dépecha d'aller s'allonger pour dormir, mais quelque chose le trvaillait, il savait que Pothin avait été bléssé, et cela l'inquiétait tout de même assez*

-Pothin!! Tu es sur que tu n'as rien? Tu ne veux pas être soigné?

*Ca aurait été un comble que Pothin meurt d'une blessure de brigands juste après avoir échappé au venin de son serpent de soeur*

- Mais oui ça va ne t'en fais pas. Dors maintenant.

* Il laissa Ptolémé et passa dans la pièce d'a côté avec le médecin. Celui-ci constata que la blessure était vilaine mais heureusement moins profonde que ce qu'il semblait.*

* Potin retint un hurlement*

-D'accord, mais si il y a quoi que se soit tu me réveille promis?

*Ptolémée avait toujours obéit à Pothin et là encore il lui obéit et se recoucha pour dormir, son ami serait soigné et à son réveil tout irait bien, ils étaient loin d'Alexandrie, en sécurité... Enfin c'était ce que se disait le jeune roi pour se rassurer*

- Mais oui ne t'en fais pas.

* Il lui sourit*

- Allez dors maitenant.

* Il attendit que son jeune maîre s'endorme, et partit dans la pièce d'à côté ou le médecin l'attendait. On ne put pas vraiment dire que Pothin passa une superbe nuit. Le médecin le charcuta et le recousut afin de dsinfecter la blessure.*

*César apprit la fuite du minable et de son inséparable... aaaaaaaaaaaaaaaah Ptolémée n'agissait finalement qu'en étant égal à lui même : en traître !!! Il entra dans une colère noire, congédia brusquement celui qui lui avait apporté la "nouvelle" ! Il pesta un long moment seul, ne pouvant retrouver ses esprits... Et puis il se rendit finalement compte que sa réaction ne laissait que du temps supplémentaire aux fuyards, cr une chose était sure, ils ne lui échapperaient pas ! Il remuerait ciel et terre, cela prendrait le temps qu'il faudrait, mais l'exécution aura bien lieu, et celle ci sera double !!!*

* Cléopâtre, qui voulait rendre visite à césar, vit l'informateur qui venait juste de se faire congédier devant la porte. Elle l'interrogea sur les raisons de sa venue, et lorsqu'elle apprit à son tour la nouvelle, un grand "QUOIIIIIIII??????!!!!!!" se fit entendre dans tout le palais. Elle entra dans la pièce dans laquelle césar se trouvait, telle une furie, et se planta devant lui.*

-Ce que je viens d'apprendre est-il vrai?! César, comment avons-nous pu nous montrer aussi peu vigilents!

*Cléopâtre était hors d'elle, et César... hors de lui, et c"était peu dire ! Il se retourna lorsqu'il entendit quelqu'un entrer, et la vit, mais sa seule présence ne parvint pas à tempérer l'accusation qui tenait dans sa remarque et qui fit lever à l'Imperator un poing rageur*

-Je ne sais pas ! Je.......... mmmmmmmmmh !

*Aux gardes qui étaient encore là -les pauvres-*

-BANDE D'INCAPABLES !!!!!!! Vous devriez accompagner vos prisonniers sur l'echaffaud !

*Noir était sa colère, lapidaires étaient ses mots, il ne fallait pas chercher le grand César !!!*

*Ptolémée lui toujours en Judée avec Pothin s'était reposé et se sentait mieux, il rejoignit son ami et lui sourit*

-Tu vas mieux? Car je ne pense pas que ce soit une bonne idée de trainer ici trop longtemps, ils verront que nous sommes partit et se lanceront à notre poursuite

*Un voile de peur traversa le regard du jeune garçon *

HJ: c'est bête ce qui vous arrive les deux prétencieux hein?? mouhahahaha bien fait!

* Bien entendu, la fureur de Cléopâtre et César ne s'appaiserait qu'une fois qu'ils auraient retrouver les évadés. La Reine regarda césar proférer ses menaces et accusations sur les gardes. Elle alla se mettre près de lui.*

-Mais comment allons-nous faire pour les retrouver à présent? Cet idiot et vil serpent de Pothin serait capable de pervertir les peuples des pays voisins et de lever une armée contre nous !!

*Cléopâtre, énervée comme jamais, attrapa un vase et le balança parterre de toutes forces.*

-Nous aurions dû le supprimer quand JE l'avais dit !!!!

hj: ouais je suis d'accord gnagnagnag lol

- Oui il faut partir tout de suite.

* Les hommes qui étaient avec eux terminèrent d'emballer et de rassembler le peu d'affaires qu'ils avaient emmener avec eux. Pothin lu la peur sur le visage de son jeune maitre *

- Allons tout c'est bien passer jusqu là. Ne t'en fais pas nous avons fait le plus dur.

HJ: eh, on vous emmerde, quand on vous aura chopés vous allez passer un sale quart d'heure !!

HJ : ouais ouais ouais, riez !!!!!! Pendant qu'il en est encore temps.....

DJ : * Cléopâtre venait là de décrire le pire des scénarios...encore fut il que ce crétin de Ptolémée y ait pensé, mais il fallait bien se méfier de ce petit garnement, qui n'était pas si idiot que cela... Cependant, si César pouvait compter sur quelquechose, c'était bien sur ses hommes...*

-Nous allons les traquer, envoyer des informateurs partout là où ils ont pu passer... et là, tu vas devoir m'aider, personne d'autre que toi ne connait mieux ton frère : mets toi à sa place... comment pense t il, où aurait il pu aller ?

*Petit sourire sadique*

-Les deux fuyards pourront lever l'armée qu'ils voudront, elle ne vaudra jamais rien contre mes légionnaires !

*Lorsqu'elle cassa le vase, l'Imperator retourna volontiers sa colère contre elle*

-Qu'est ce que tu insinues ? Que c'est de ma faute ? Je ne me suis pas opposé à son exécution, il y avait simplement affaires à régler avant ! Et ce n'est pas le moment d'en reparler !

* Cléopâtre, tout à sa colère, avait du mal à s'imaginer la façon de penser de Ptolémée... Pensait-il seulement? Ce petit imbécile avait égté manipulé dès sa naissance par Pothin et sa clique. Que pouvait-il penser, qu'avait-il à penser, puisque Pothin le faisait pour lui! *

-Mais Ptolémée ne fait rien, c'est Pothin qui lui suggère tout! Ptolémée n'est qu'un enfant gâté à qui l'on a promis monts et merveilles, il se laisse aveugler par sa soif de pouvoir, il n'a pas l'intelligence nécessaire pour gouverner et surtout se gouverner lui-même ! Connaissant Pothin, il a dû suggérer la fuite de l'Egypte dans la manière la plus rapide qui soit, pour se réfugier aussi vite que possible en des contrées qu'il aurait connues.

* Elle le regarda retourner sa colère vers elle. Mais pour qui se prenait-il à lui parler ainsi, à elle, la Reine d'Egypte!*

-Ne crie pas sur moi !! Je n'insinue rien, seulement qu'encore une fois j'avais raison, et que tu n'as pas voulu m'écouter, du moins pas tout de suite! Je voulais qu'il meurt !!! Et toi, tu m'as dit de réfléchir, d'attendre! Mais à qui bon attendre? Regarde maintenant ce qui arrive...

hj: c'est même pas pothin en plus snif

*Colère contre colère, César était dans le même état d'énervement que Cléopâtre... quitte même à la dépasser : en effet, elle cherchait à avoir raison, à replacer la vision des choses par la sienne, elle le reprenait dans son discours pour qu'il l'approuve, qu'il lui donne raison... mais il n'avait que faire des belles manières et des formes, le temps pressait et jouait contre eux, il fallait agir et vite !*

-Je sais je sais tout ça, peu importe ! Que l'on cherche l'un ou l'autre, que l'on trouve ton frère ou Pothin, nous les tiendrons au final tous les deux...La question n'est pas de savoir qui a fait quoi et comment, mais où sont ils ?

*Reine d'Egypte ou pas, l'Imperator n'avait pour l'heure que faire des titres, et lui, avait elle oublié qui il était ? Encore cette manie de tout rectifier et de se replacer au centre des évènements, plus que jamais cette prétention débordante le hérissait !*

-Oh je t'en prie épargne moi tes remontrances ! Tu sembles tout savoir, tout pouvoir, en oublierais tu comment le trône t'es revenu ?

*Il s'était rapproché d'elle, pas du tout calmé, mais pesait ses mots, sifflé entre ses dents pour bien lui faire comprendre que, si elle était Reine, si elle était Grande, c'était tout de même grâce à lui, c'était bien facile maintenant de faire acte de pouvoir, maintenant qu'elle n'avait "plus besoin de lui". Il n'était pas décidé à se laisser faire et crierait s'il le voulait !*

* Cléopâtre regardait César d'un air incrédule, hochant la tête avec un rictus, l'air de dire "sause toujours". Bien sûr, maintenant qu'ils étaient en fuite, peu importe pourquoi, comment , qui a fait quoi... C'était trop facile! Mais soit, il fallait les chercher. *

-Eh bien, agissons dans ce cas! Ils ont dû se diriger vers la Judée. C'est là que Pothin a le plus d'alliés.

* Comment osait-il? Lui balancer maintenant en pleine figure que si elle était là c'était grâce à lui! Bien sûr qu'elle le savait, elle en était consciente à chaque instant. d'un ton un peu radouci mais toujours aussi froid, elle répondit: *

-Je n'oublie rien, rassure-toi !!

* Elle croisa les bras d'un air mécontent, et attendit qu'il dise quelque chose, comme qu'ils allaient partir à leur poursuite et qu'il les ferait tuer aussitôt qu'ils auront été débusqués.... Des paroles réjouissantes pour calmer la situation quoi ! *

*César se retourna et passa ses mains sur son visage, au comble de sa colère, grrrr les fugitifs ne feraient pas long feu !*

-Je lance Antoine en éclaireur, et j'attendrai ses comptes rendus pour partir, inutile de nous lancer sur des traces-mirages, autant savoir où nous allons et être efficaces !!*

*A son "je n'oublie rien", il tourna la tête, soutenant son regard perçant mais qui ne l'impressionnait pas, plus. Il s'avança vers elle, l'embrassa sèchement, lèvres serrées, passa un doigt sous son menton pour lui garder la tête haute -ce pour quoi d'ailleurs elle n'avait pas besoin de lui- et lui murmura, toujours entre ses dents*

-J'espère bien, je ne manquerais pas de te le rappeler avec plaisir...

*Petit sourire sadique... Il était pour une fois en position de force et y goûtait à pleine mesure, ne laissant pas passer l'occasion ! Oui il "osait" et sans culpabiliser ! Il savait ce qu'il allait faire de Pothin et Ptolémée quand il les tiendrait, mais il n'en dit pas plus pour l'instant.*

* Cléopâtre trouva l'idée d'envoyer Antoine en éclaireur plutot bonne. César avait probablement l'habitude de ce genre de situation et mieux vallait le laisser faire. De plus, Antoine était quelqu'un sur qui l'on pouvait compter et César lui faisait toute confiance.

Elle ne dit rien et le vit approcher, la colère se lisait encore dans ses yeux. Elle ne bougea pas d'un millimètre, ni à son baiser colérique, ni à son geste, se contentant de le fixer, yeux dans les yeux, de manière aussi sèche que lui. Il était là, face à elle, à quelque centimètres, elle pouvait sentir toute la chaleur de son corps alors qu'ils ne se touchaient pas, ilse se faisaient face, simplement. A cette phrase prononcée entre ses dents, d'un ton presque sadique, Cléopâtre fronça légèrement le sourcil. Qu'entendait-il par là? Lui proférait-il des menaces? A ces mots, la reine décroisa ses bras, les passa autour de la taille de César pour le plaquer contre elle. Elle détacha une de ses mains qu'elle passa sous la "jupe" de César et qu'elle plaqua sur sa fesse, en ne manquant pas de bien lui enfoncer ses ongles dans la chair. Elle murmura sur le même ton sarcastique et entre ses dents une réponse appropriée. *

-Je ferai en sorte que ton rappel reste gravé dans ma mémoire, ne t'en fais pas.

* Un léger sourire se dessina alors sur ses lèvres. *

*César fut surpris d'une telle réaction, bien qu'il était évident que Cléopâtre ne serait pas restée sur un ressenti d'emprisonnée... Il écarquilla les yeux à la petite douleur que ces ongles limés à la perfection provoquait en rencontrant une peau pourtant endurcie par les évènements de guerrier conquérant... Il tourna la tête de sorte à fixer un point dans le vide, prit un petit air de "tu ne m'impressionnes pas" faisant une petite moue avc sa bouche, puis revint poser un regard toujours aussi empli de colère, maintenant de haine, sur celle qui le tenait.. En silence, laissant ces secondes vides faire leur travail de suspense, il posa une de ses mains libres dans le dos de Cléopâtre et suivit la ligne de sa colonne vertébrale, ils étaient toujours collés l'un à' l'autre si bien qu'il pouvait se rendre compte que leurs comptes battaient à l'unisson...*

-Je ne connaissais pas cette Cléopâtre là, et je suis enchanté de la rencontrer...

*Il l'imita dans son sourire léger mais bien évocateur.. Puis se dégagea d'un geste brusque, enfilant de nouveau le masque pur et dur de la colère, et appelant avec force*

-GARDES ! Que l'on prévienne Antoine, je dois le voir sur le champ !

* Cléopâtre n'aimait pas du tout la conduite qu'il avait. Qu'espérait-il en agissant de la sorte? Elle se retrouva détachée de lui en quelques secondes, mais elle le fixa avec son air noir et colérique, croisant les bras sur sa poitrine. Puis, elle décida de partir, laissant aller ses pas, d'un air toujours aussi froissé, de manière rapide et sortit.
Elle entendit cependant César faire appeler Antoine... Ce jeune romain, elle l'avait aperçu déjà quelques fois, et il fallait bien avouer qu'il n'était pas désagréable à regarder... Bon disons-le clairement, il ne la laissait pas indifférente. Pour peu que d'ici quelques années il ne devienne quelqu'un d'encore plus important politiquement parlant, elle saurait bien quoi en faire...*

*César faisait dos à la porte, si bien qu'il ne la vit pas sortir, bien qu'il se doutait de son petit air renfrogné, celui-ci demeura du domaine de l'imaginaire... Il entendit néanmoins la porte claquer et savait qu c'était elle... Célopâtre était douée pour faire savoir ce qu'elle pensait, elle utilisait tous les moyens...*

*Il se retourna alors pour faire face à la porte.. fermée bien évidemment. Devait il courir à sa suite ? S'excuser ? La faire revenir ? Ctte idée lui traversa l'esprit mais il la chassa bien vite, non, même pour Cléopâtre il n'allait pas s'abaisser de la sorte, il fallait qu'elle comprenne certaines choses, et qu'il continue de s'affirmer... Il n'était pas dupe : elle prenait de plus en plus l'ascendant sur elle, il ouvrait progressivement les yeux, et certains points le dérangeaient ! Il fallait qu'il reprenne en main quelques petits écarts...*